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mercredi 6 avril 2022

Les valeurs et un véganisme rapide...

Aujourd'hui j'ai vécu une expérience particulière. Je suis en convalescence, et j'ai repris le boulot lundi. D'abord en télétravail, aujourd'hui en présence. Avec passage devant la DRH pour mes "mandats syndicaux", que j'assume avec responsabilité et diligence. Le problème est juste que je suis en inéquation avec ma hiérarchie, mon département.
Je ne suis pas meilleurs. Mais je n'ai pas les mêmes valeurs. Je privilégie 50 € de moins sur la fiche de paie, mais que les enfants voient leurs parents, et que la priorité soit à la maison qu'au boulot. Je suis dans le temps long : je ne supporte pas les changements de cap et de priorité toutes les cinq minutes. Supporter au sens physiologique du terme : le pilote de F1 ou de Falcon est capable de se prendre des G dans la gueule. Moi pas. 

Aujourd'hui, je suis retourné (pour la première fois de l'année) à la cantine de mon travail (avec les gens qui m'ont poignardé). Et j'ai fait une erreur. J'ai pris un burger végan.
Je suis le mari d'une fille et petite fille de boucher charcutier. Et j'ai gouté à... Cette merde. Pourquoi ? Je ne sais pas. J'en parlerai à mon cardiologue (un nouveau dans la famille) et à mes psys et docteurs. J'en parle ici.

Alors ce soir je reviens sur mes bases. Le vin de mon ami témoin dans les bons et mauvais moments. Un saucisse lentilles bien comme il faut.

Demain à 6h du matin je partirai comme responsable syndical pour un mouvement dont j'ignore la fin. Je ne sais pas comment je tiendrai. Mais bon...

Suite au prochain épisode. 

mercredi 30 mars 2022

L'Auberge de Miemart, à Roquemaure #Gard

Je parlais lundi soir du Bleu Carotte, restaurant qui a fermé ses portes en fin d'année dernière. Roquemaure a en son sein un très bon restaurant où j'aime inviter (et pas invité merci Cyrille) les gens. L'Auberge de Miemart. Nous y avons fêté nos 40 ans. Et nos victoires électorales



La bière de la cave coopérative de Roquemaure, Roccamaura, y est servie. Très agréable. Vigneron et brasserie c'est bien. 



Nous n'étions pas seul pour boire le Tavel du Chateau Correnson


Les seiches à la plancha sont fantastiques....

Bref, un billet de bouffe. A l'heure du déjeuner. C'est très bien. 







 

lundi 15 février 2021

Saint Valentin et Bruce Springsteen

Hier soir très bien. Composition de fleurs pour moi, et falconette avait envie de découvrir Bruce Springsteen. Une soirée à écouter un CD c’est super.


 L’intégrale de l’Arme Fatale en Blu-ray est aussi un super cadeau

samedi 21 novembre 2020

Fidèle au primeur du Gard

Je vais toujours au domaine Castel Oualou de Roquemaure, chez mon ami Jean-François Assemat, le samedi soir des côtes du Rhône primeurs vers 17 heures. Le soleil se couche derrière les collines de Lirac. Lui et mon ami Brice Beaumont sont deux domaines formidables, les meilleurs pour moi dans l'appellation Lirac. Le premier propose tous les ans un primeur, et malgré la crise du Covid, étant "commerce essentiel", il continuait à proposer ses produits.




Vers le début des années 2000, j'y allais avec cet ami qui serait maire de Roquemaure en 2008, avant de mourir tragiquement une nuit de Mars 2010. Je garderai toujours en cauchemar le coup de téléphone au samedi qui m'apprenait la mort de cet ami avec qui je buvais un whisky la veille au soir avec l'association Saint Valentin.
Depuis, tous les samedi après le troisième jeudi de Novembre, j'y vais vers 17 heures. Avec un ami, mon docteur, ce soir c'était mon grand fils. 

La cave était plus triste mais Jean-François gardait sa gentillesse. Et son primeur cette année est excellent. Malheureusement il n'aura pas les restaurants pour le vendre... 
Quand je faisais mes études à Lyon, nous fétions le Beaujolais nouveau dans mon école sur Fourvière et le vieux Lyon. Mon ami Jérôme Brossette avait ses parents qui avaient un domaine à Thaizé, dans ce Beaujolais des pierres dorées. Le domaine de Cruix de mémoire. Des souvenirs d'enfance. Ces soirées de beaujolais nouveaux ont été pour des camarades d'école des dépucelages en grosse cuite. Pour ceux qui avaient résisté au bizutage qui, à mon école, était fraternel et bon enfant. Ma première, dans mes souvenirs, ça a été la sortie de neige en Mathsup. Je crois que je ne bois plus de pastis depuis cette cuite d'un soir de Janvier 1996 où le lendemain les pistes me semblaient sans reliefs...



Ce soir je boirais le primeurs de Jean-François Assémat. En pensant à Guy. Et à cette drôle de période qu'on vit...

mardi 24 mars 2020

Ne plus vendre d’alcool. Vers quelle société allons nous ?

Je suis tombé ce soir sur cet article dans le midi libre. Le préfet a décidé d’interdire la vente d’alcool dans l´Aisne. Bon...

Le climat n’est ni au débat ni à la réflexion. Dans mon village certains scrutent et sont limites de dénoncer ceux qui marchent ou vont dans les commerces à pied.

C’est con. Ce soir je suis allé à Intermarché pour acheter des viandes. Des légumes. Mais aussi une bouteille de whisky. Un « de base ».
Dans l’Aisne je n’aurais pas eu le droit. Et comme je l’ai fait en marchant (émission carbone zéro...) certains voudraient le dénoncer.

Je me demande si nous ne sommes pas en train d’accepter des choses... inacceptables. Mais le temps n’est pas a7 débat, il est à baisser les yeux et à rester chez nous. 
Par contre demain il faudra se poser des questions, sur ce que l’on a accepté finalement facilement. 

Ma cave de plus de 300 bouteilles de vin, des bières en veut tu en voila, et des bons whisky... je ne suis pas à plaindre.
Ma femme et les enfants ne risquent rien. Mais quand même... on se rend compte de ceux qu’on vit ? Et ce qu’on accepte ?

Hier c’était le climat, aujourd’hui la santé. Demain ? 

Non y a un truc qui me dérange. 


mercredi 4 mars 2020

Un verre de blanc ? A défaut de se serrer la main...


Le problème avec les verres de vin c’est que je les prends grands et que je l’ai remplis beaucoup. Quand j’utilise un BIB (Bag In Box), c’est pire.

J’aime boire et je déteste un verre vide. Pour ça qu’en bière je prend toujours une pinte, ou deux bouteilles de 25 cl. Alcoolique ? Si je n’avais que ça comme défaut...

Mon ami Nicolas fait remarquer qu’en effet plus personne ne blogue. Pourtant 49-3 en un week-end, virus, municipale, y en a des sujets. 
Bah... je passe sur Twitter je vois que les intelligents sont de sortie, c’est fou comme on est vite un « fdp »...

Aujourd’hui au boulot on nous interdit de nous serrer la main et de nous embrasser. On est à l’image de notre société : nous sommes des robots, plus d’affect, juste du rien.
Je suis en fait un punk suicidaire. Les gens que j’aime je leur serre la main avec affection, je les embrasse et les prends dans mes bras. 

Si je meurs c’est d’avoir pas détester les gens. J’étais jeune au début du SIDA. Mais j’ai l’impression qu’il faut se protéger pour avoir juste une relation « humaine ». 

Alors je bois. 

Le vin est un Laudun blanc. Pardon Brice. Je bois de tout. Mais tu restes les meilleurs 

mercredi 11 décembre 2019

"Je ne bois pas pour aller bien mais parce que ça va bien"

Je suis abonné au Point, j'adore ce journal. Un dossier sur ces intégristes qui veulent nous empêcher de bien vivre par leur positions hygiénistes extrêmes était très intéressant. Je pense que le mari d'une fille de boucher charcutier vivra en meilleure santé que la vegan pâle, triste et intolérante qui viendra me donner des leçons.

J'ai aimé l'interview de Pierre Arditi sur son amour du vin. Personne n'imagine Pierre Arditi bourré dans le caniveau. Et il a eu cette phrase que j'aime, qui est quelque part ce que je m'applique aussi.
Je ne bois pas pour aller bien mais parce que ça va bien
La phrase est belle. Je ne sais pas si elle me rassure, mais je me rend compte que je bois plus quand je vais bien que quand je suis dans le fond du ravin.
D'ailleurs c'est simple, quand je ne vais pas bien (ça m'arrive), je ne bois pas, je ne mange pas. C'est peut être les moments où je perd le plus de poids.



Si je l'écris c'est que j'en suis conscient.

Par contre oui, j'aime boire. Mon poids devrait être idéalement à 80 kg, il est plutôt entre 84 et 85. Y a trois ans il dépassait les 90. Et quelque part je m'en branle : je n'ai plus personne à draguer, et si je meurs en bonne santé mais malheureux, quel intérêt à ma vie ?

Par contre quand je vais mal, c'est pas le vin de mon ami Brice, une photo plus haut, que je bois. Ce n'est pas le whisky que m'a offert une amie précieuse (même si pour certains...) que je bois.
Non, je prends autre chose. D'autres choses.

La pharmacie est une chose. La cave est un autre endroit tellement plus beau.

lundi 25 février 2019

Buvons du vin et merde aux hygiénistes et progressistes

On calcule un volume de vin par rapport au nombres de personne, pour une fête, afin d’estimer le nombre de bouteilles de Brice Beaumont (buvez en avec ou sans modération) ou de BIB.

Et le push arrive la. Et on doute. A acheter plutôt du lait fermenté bio ou de l’eau infusée dans du thé Souchong.



On achètera plutôt du vin...

Oui on mourra, sans doute. On aura bu du vin de mes vignerons dont je suis le parrain de la fille d’un, et dont un autre fut mon témoin de mariage. Je n’ai pas vu des envies de me tuer. 

J’en ai marre de cet hygiénisme progressisme qui tue notre société.

jeudi 27 décembre 2018

2018 en rien

Normalement j’écris un billet avec les 12 articles qui ont fait mon année. Mais cette année j’ai bu. Surtout ce jour là. Et encore ce soir je ni'ai pas encore commencé.

Le vin en avant, et ceux en arrière, sont ceux de mon meilleur ami. Il tweet depuis pas longtemps ce con, sous le mignon pseudo Domaine Beaumont. Il a même un site internet (qu'il ne gère pas, il a des trop gros doigts).
Il a été important pour moi. 


Un vigneron de Lirac, un coin du Gard. Des vins en face de château neuf du Pape, qui dans leur grande évolution, les valent bien.

Cette photo a été prise hier à Saint Chamond, Noël avec la famille de Falconette. Elle avait besoin de revenir chez elle. Ce soir, nous serons à Saint Hilaire Cusson la Valmitte, au milieu de rien. Avec les enfants, les beaux parents, la cheminé, Galia le petit chien, et des vins. Et j'en suis heureux de cette soirée de réveillon du jour de l'an. 

J’ai eu une année 2018 difficile. Peut être la pire depuis 2002. Entre temps il y avait 2010, mais mon mariage l'avait rendu heureuse.  
Cette année Falconette et les enfants ont failli me mettre hors jeu. Je n’ai rien fait de mal, mais...
Mais je n’ai pas été bon. Lorsque l'on mélange la générosité avec le n'importe quoi, le mélange peut être explosif. Cherchez sur Youtube "Sodium + eau", vous aurez ce qui a failli m'arriver...

Ce qui est "amusant", c'est qu'en 2002 mes tourments auront une pour origine un pseudonyme d'origine grecque (normal : époque Saint Seiya), Eurydice. Comme je recommence à écrire ce prénom et qu'on l'a même prononcé dans le salon familial, l'écrire ne me fait plus rien. Même, j'avoue, j'aimerai lui reparler. A 41 ans, 16 ans plus tard, on vieillit, on évolue. On pardonne et on se pardonne.
Il faudrait que je parle avec des personnes qui connaissent le grec car j'aimerais savoir ce que signifie la fin de prénom "ice". J'imagine que ce n'est pas de la glace. Mais la dernière finissant en "ice" que j'ai rencontré, ca a été quelque chose...

Une année 2018 difficile. Avec ma famille proche. Ce qui rend ma présence dans ma belle famille finalement comme une bouffée d'oxygène. A mon travail, où j'ai pris des responsabilités qui m'ont mis en ligne de mire. Avec des proches, où trop écouter et agir en pensant être le super héros qui va résoudre tous les problèmes a failli m'être fatal, et me faire perdre ce foyer qui est tant pour moi.

Je termine 2018 épuisé. Je suis passé d'une avant dernière semaine à 35°C de fièvre à la semaine dernière où je culminais à 40°C.  En moyenne c'est bon remarquez...
Je termine 2018 en étant un autre homme. Ma meilleure amie (qui fut aussi ma première petite) m'a dit par téléphone, une semaine avec un jour qui restera comme un presque drame personne : "tu es un bon papa et et un bon mari : redevient un excellent papa et un excellent mari, comme tu es un cet excellent ami qui tu peux être pour certains".

Souvent on oublie les siens, son premier cercle. Et être un super héros pour les autres c'est bien, mais c'est d'abord Chichi, San Gohan et San Goten qui ont besoin de San Goku. C'est ça que je dois être.



Bilan de blog : 207 billets en 2018. Ca baisse encore. 254 en 2017, 234 en 2016, et les nombres sur-réalistes de 380 en 2015 et 479 en 2014. 2009 et 2010 on dépassait les 550, c'était l'esprit de la Comète.

Moins de billets, mais des billets plus intimes, plus personnels. Quand j'écris un billet "de fond", je m'applique. Sinon, je poste des photos, des bêtises, des soupirs.
J'aime les discussions que j'ai, avec quelques anonymes sympas, avec mon ami Nicolas (qui blogue moins aussi et a d'autres préoccupations), Juliette, Amy, Pierrot, et pleins d'autres que je ne cite pas mais à qui je pense. Globalement, j'aime bien ces petites discussions.

Je ferai peut être mes 12 billets de 2018. Peut être pas. Je verrai. 



dimanche 21 octobre 2018

Hashtag je suis ébriété

Une fois par an je suis invité par un de mes meilleurs (mon meilleurs ?) ami à un petit déjeuner pour fêter la fin des vendanges à Lirac. Dans sa cave, un moment fraternel et amical fantastique d’où il émane que des sentiments positifs. Qui font se dire que peut être dans l’histoire de l’Humanité, tout n’est pas perdu.

En point négatif, c’est que le hashtag #jesuisébriété (sans modération qui ne vient pas) est l’organisateur de la matinée. Mais c’est bon. 


J’ai eu une semaine passée dure. Physiquement j’ai accusé le coup, mais les analyses et tests sont bons. Des nouvelles horribles m’ont éventré. Des gens que j’aime vraiment (vraiment) vivent des moments affreux. Injustes.

Je suis heureux, je suis marié, père de deux enfants. J’ai des amis fiables. Mais certains sont malheureux, et ça me touche. 
Alors je bois...

vendredi 7 septembre 2018

Réconfort d’une fin de semaine de rentrée

Ça s’est pas trop mal passé. 

Pensées à mon ami vigneron de Lirac qui vendange en ce moment. Au sens propre comme au figuré. La cuvée 2018 promet, après 9 mois de maturation, d’être sympa aussi.

A part ça le temps se rafraîchit. 


jeudi 6 septembre 2018

J’aime le Chinon, la bière et les bonnes choses à manger

J’aime manger. Et j’adore le Chinon. Ça me rappelle la Comète, mes premiers déplacements professionnels. L’odeur m’évoque pleins de choses. 

J’aime le Chinon. Et boire du Chinon à Chinon c’est fantastique. 

Ces photos ont été prises deux soirs de suite à Villandry. Bière. Vin. Viandes.




On mange bien. C’est agréable. 







Sinon la rentrée est dure. Mais les enfants se régalent 

samedi 7 octobre 2017

J'ai fait le même cocktail

Les applications Blogger déconnent à plein tube, même sans passer sur iOS11. Alors je reposte ce billet de la plus haute importance.

Hier soir, j'ai donc fait un cocktail fantastique. Campari, vin blanc, jus d'orange, une goutte de Perrier, et une larme de grenadine. Il n'y avait plus la place pour les glaçons.

Falconette aime que je lui fasse des cocktails, surtout que j'innove parfois, par petites touches. Celui là était fait après plusieurs coups. J'ai tenté un Spritz au début qui était imbuvable, et d'une touche à l'autre je suis arrivé à ce cocktail qui n'a pas de nom. 

Cet été, j'en servais à mes invités. Le truc vodka machin cuiraçao classique. Et à coté je crois c'était un Spritz revisité avec Apérol et mélange de d'un vin "tranquille" et d'un pétillant. 

Ca valait le coup que je reposte et que je complète ce billet. Sans quoi je me demande si la face du net s'en serait remise...
(et puis ça fait un billet de blog dans la morne plaine de ma blogosphère qui devient de plus en plus tranquille elle aussi...)

dimanche 10 septembre 2017

Carte postale de Bourgogne au petit matin

La Cote d'Or. On quitte Dijon (je ferai les cartes postales de cette capitale régionale plus tard) et on s'arrête à Fixin et à Gevrey Chambertin pour des photos de vignes.

Nous sommes le 16 Août au matin, il est à peine 8 heures. Et comme la veille un peu plus bas nous cherchons une boulangerie, un café, pour nous accueillir. Le long de la route des vignobles.

On le voit mal sur la précédente photo, mais une montgolfière trône en haut dans le ciel. Avec les images du soleil levant, et le silence dans ces vignes, cela donnait une atmosphère délicieuse. 
A un moment, nous avons croisé une jeune fille qui faisait son jogging dans cet endroit magique. Côte d'Or, je comprends qu'on puisse donner ce nom à ce département...

Les deux premières photos ont été prises à Fixin. Les suivantes ont été prises autour du village de Gevrey-Chambertin, où je m'arrêterai pour quelques cartes postales. Il vaut le coup, même s'il est tout petit.

Ces cartes postales me donnent l'occasion d'une pensée pour mes amis vignerons dans la Côte du Rhône gardoise, et aussi vauclusienne. Cette année sera difficile, la vigne a été cruelle. Un coup de froid début Mai, suivi des épisodes de canicules et de l'absence d'eau cet été, a donné une vigne fatigué. 
Les chiffres qui sortent des caves à l'issue de ces vendanges sont comme un soir d'élection à Solférino : c'est catastrophique. Entre -40 et -60% de récolte cette année. Cela va provoquer de véritables soucis à certains vignerons de coopératives, ou qui font du vrac. Et dans l'ensemble, pour la filière, c'est dramatique. 


Quand je lui avais envoyé un MMS de ce coin, mon meilleur ami de Lirac m'avait dit, en rigolant "ramène moi quelques raisins, j'en aurais bien besoin...". Quoique je ne sais pas trop ce que feraient nos vignerons de ce pinot noir. Quoique pour la plupart ceux sont des magiciens quand ils jouent avec les cépages, les cuves et qu'ils mettent ça en bouteille. 


A part ça la rentrée c'est bien passées pour mes bébés. Et s'occuper un petit en CP qui veut tout lire et tout déchiffrer, et doit en plus faire des devoirs le soir, c'est particulier. Ca montre qu'on vieillit... Et c'est bien dommage.




dimanche 16 juillet 2017

Couleur Tavel

Les weekends autour du 14 juillet, Tavel son rosé. Le samedi soir "couleur Tavel" devient un petit rituel, qui fait decouvrir les rosés formidables de Tavel, dans un écrin délicieux.

En plus de produire un vin superbe, Tavel est un village magnifique. Avec des jardins délicieux, où l'eau s'écoule en petits canaux, dans un décor de pierres. Le monde est étouffant, mais les vignerons jouent le jeu, et l'ambiance est estivale.




J'ai dégusté le vin de mon témoin de mariage, le vin de mon ami. Il faudra que j'écrive un billet de promotion du Domaine Brice Beaumont, qui mérite toutes les attentions du monde.

Pour revenir à Tavel, il n'y a pas que le village qui est sympa. La nature environnante l'est aussi. C'est mon terrain de marche quand je veux partir sur un 20 km en me vidant la tête et les jambes.
Et le soir les food truck ont envahi les places. Et je trouve ça sympa ces food trucks, ça donne une ambiance sympa dans nos villages l'été.

J'ai beaucoup aimé le bulleur. Mes bébés n'étaient pas la mais ils aurait adoré.

Le Gard offre des choses sympas, aussi l'été. Et c'est pas loin de chez moi, c'est génial.

A part ça il fait chaud. J'aimerais être en vacances...

dimanche 2 juillet 2017

Instagram d'un chaud mois de juin

J'aime bien revoir les images que je mets sur mon instagram du mois passé.

Dernière j'avais cette photo d'un apéritif normal. Le Bib de blanc entamé m'a donné l'occasion d'un apéritif sympa, un soir de la dernière semaine de Juin qui fut pour moi une horreur. Oui, je mets des glaçons dans le blanc, mais c'est comme ça que je l'aime à l'apéritif le vin.

Le mois de Juin, c'était l'anniversaire de grand bébé Faucon. Galia était venue le lui souhaiter son anniversaire des 6 ans, mais la chaleur était fatigante pour elle. 


Juin c'est les premières fraises de mon village d'enfance. Et c'est toujours des moments sympas pour moi. 


Juin c'est la fête des pères. Mon deuxième bébé a eu l'occasion, pour la première fois, de me la souhaiter. La crèche de mon village ayant décidé que fête des mères et fête des pères, c'était has been. Mais c'est vrai que un papa et une maman pour un enfant, c'est presque du fascisme pour certains. 


Juin, c'est les apéritifs sur la terrasse. Un local, avec une double prise bien réussie dans mon pack de Pelforth.


Avec du protège soleil, parce que Juin fut caniculaire et chaud. Je crois que la bière était une Chti dans ce verre, on voit la différence de couleur (et c'est pas que le filtre)


Et cette Black Licorne que j'ai bu un soir triste où j'apprenais la mort de Louis Nicollin. Le lendemain Simone Veil disparaissait. Triste.


Sinon le jardin prolifère. Je n'ai pas été brillant sur les gourmands qui sortent des tomates. Mais les fruits et les salades qui sortent de mon jardin font le bonheur de ma table et de mes enfants.


Maintenant Juillet commence. On attend la suite...

samedi 10 juin 2017

Verre de rouge, Pac-Man et interrogations électorales

Un grand verre de rouge. Un vin de Provence, des Alpes de Hautes-Provence. Le vin du berger de cave de Pierrevert. Une gamme de vins simples à boire et délicieux.
Un petit PAC-MAN qui tourne. Les enfants aiment bien. Pas loin le barbecue électrique tourne et des saucisses grillent.

Pendant ce temps on se posait une question. Et une drôle de question. Il n'était pas question de savoir pour qui nous voterions demain. Mais si nous irions voter. Parce que j'en ai marre. Parce que j'en veux à la droite républicaine, à ses militants de la vraie droite radicale qui ont fait perdre les deux dernières présidentielles. 
Et puis bon... je vois qu'une veille d'élection, les chaînes télévision retransmettent quand même en i te gravité le,discours du président Jupiterrien, gloire à lui et à ses saints à qui rien ne peut être reproché. Donc bon...

Je crains quand même que cette séance électorale laisse la place à une amertume et aigreur qui risquent de faire mal. La présidence Hollande a pronfondement fait mal et fracturé la société française, et elle a donné des élections lamentables qui risquent d'avoir des conséquences graves.
Je ne parle pas d'un scénario à Houellebecque, quoique voir l'ancienne candidate à Avignon aller draguer de manière éhontée l'électoral musulman en voile...

Non, allons boire et profiter de la soirée. Et demain nous verrons. Peut être une forte abstention serait un message aussi. A voir...

(PS personnel : mon ami blogueur m'a appris à midi une mauvaise nouvelle. Pensées émues a une personne que je n'ai rencontré qu'une fois, mais qui avait marqué par sa gentillesse, son attention envers les autres, et dont les échanges eu avec lui sur blogs et ailleurs étaient marquées par intelligence et respects. Triste...)

jeudi 9 février 2017

Soldes à la cave de Laudun - Chusclan

J'ai acheté du vin ce soir. Beaucoup. Du bon, du vin de plaisir.

Avant de passer les blancs et roses 2016, la cave de Laudun et Chusclan bradent leur production de l'an passé, qui sont des vins de plaisir et de belle facture.
 J'ai pris 11 cartons. Du Chusclan rouge et rosé, du Laudun Blanc et des côtes du Rhône blanc et rosés. Les vins de l'été, a des prix canons (2 cartons pour 1, etc...)

C'est jusqu'au 20 février et c'est tres bien pour le vin. Donner à un prix super un Condé grande qualité et de plaisir avant qu'il ne se tarisse, et pour les caves préparer les stocks suivants. Gagnant - gagnant.

Allez y compagnons, camarades, amis. C'est bien. Et c'est un acte militant que se soutenir le vin !
Et si vous êtes dans le coin, venez défendre aussi la filière industrielle autour de Marcoule. Nous en avons besoin. Le territoire et ceux qui y vivent et y travaillent en ont besoin.
En plus c'est bien pour le pays de défendre la filière nucléaire et le démantèlement des installations nucléaires ou industrielles en fin de vie. Fonçons 

Et buvons du vin ! Laudun est un village formidable en plus !



jeudi 11 août 2016

Carte postale d'Auvergne

En vacances pour la fin du mois. Loin des incendies en Provence et chez moi. 

Du repos, j'en ai besoin : l'année m'a épuisé. Je serai loin des présidentielles (qui j'espère mettront fin à cette parenthèse...), mais entre la famille et le boulot, je sais que 2016-2017 sera aussi épuisant. 

Je vais utiliser ce blog pour des cartes postales. Cette semaine en Auvergne, dans le Massif Central. On a laissé les bébés en Forez pour aller découvrir le Puy de Dôme et ses environs.

J'ai aussi découvert des fantastiques. Ce Côte d'Auvergne très gamay. On dirait un beaujolais village, un vin de plaisir et de soif.

J'ai aussi découvert le Saint Pourçain. 

Le pinot noir lui donne une noblesse très différentes des vins syrah grenache dont j'ai l'habitude dans mon Gard. C'est une découverte ce vin.

Des billets d'été. Des billets de rien. Mais le rien ca fit du bien des fois...