Affichage des articles dont le libellé est délinquant. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est délinquant. Afficher tous les articles

jeudi 23 juin 2016

Voter pour Notre-Dame-des-Landes, c'est s'opposer à ça #NDDL

Je recopie un billet du 14 Avril 2013, qui évoquait ces délinquants et ces zonards qui s'opposent à Notre-Dame-des-Landes et à la République. En intimidant les honnêtes gens. Des personnes peu recommandables.
François Hollande a joué avec le feu en leur donnant la possibilité d'une chance contre les processus démocratiques de notre République. Voter contre NDDL, c'est donner sa voix à ce type de délinquants, aux casseurs qui ont exaspéré Nantes et Rennes. A cette extrême gauche violente, représenté politiquement par des Filoche, Mélenchon ou Duflot. Qui n'ont aucune honte à avoir du sang sur les mains pour asseoir leur influence, cf Sievens. Voire plus...

Depuis le début, je soutiens le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Aussi à cause de ceux qui le combattent, en employant des moyens de que je juge inacceptable. Ce projet a des opposants qui me donnent clairement envie de le défendre. 
Car défendre le projet deNotre-Dame-des-Landes, c’est aussi défendre une certaine conception de la République et de la Démocratie, et c’est combattre des personnes qui en ont une autre, de conception...

Je n’avais pas cité un article du Parisien qui date de deux semaines. Il s’intitulait « vive tension autour de Notre-Dame-des-Landes »« Vive tension » est un joli mot pour éviter d’écrire « actes de violence et de délinquance », car c’est bien ça qu’il s’agit.
« De nombreux habitants se plaignent de la violence d’opposants radicaux au projet d’aéroport. Des agressions, des vols et des tentatives de racket sont recensés. » Pourquoi n’en parle-t-on pas de ces petites frappes qui, sous couvert d’une cause à défendre (dont je suppose qu’il se foute, mais je fais un procès d’intention), vont terroriser un territoire ?

« Et les habitants dans tout ça? Une paisible voiture d’auto-école est obligée de se faufiler dans ce paysage de guérilla rurale. Plus ennuyeux, de nombreux habitants évoquent des menaces précises à leur encontre. « On a une peur constante, explique Frédéric*. Je vis en lisière de ce qu’ils appellent la ZAD (NDLR : la zone à défendre). J’ai eu le malheur de demander à des squatteurs d’arrêter de rentrer chez moi. Depuis, je suis menacé en permanence. Tout a dégénéré avec la nouvelle année. » »
Des squatteurs, et violents en plus… Des habitants qui vivent dans un paysage de guérilla rurale, à cause de quelques révolutionnaires de salon qui vivent de… ? Qui vivent de quoi au fait ?

« Maraîcher à Vigneux et Nantes, Roger* explique comment il a dû cesser son activité sur la zone du futur aéroport : « Depuis la mi-octobre, je ne pouvais plus travailler. Mes employés étaient sans arrêt bloqués sur les barrages, on les empêchait de passer, certains ont été rackettés de quelques euros pour avoir le droit de poursuivre leur route. On essaie d’être neutre, mais c’est impossible. » »
Des squatteurs, des racketteurs, des gens violents qui empêchent les gens (honnêtes) de vivre, de travailler. Joli tableau. La gauche de la gauche quisouhaite légaliser les violences et les actes de délinquances de la part decertains syndicats soutient-elle ces gens-là ? Et que font les forces de l’ordre ? Que fait la justice face à ces personnages ?
Un élément de réponse avec un autre témoignage d’un agriculteur…

« Son exploitation est au cœur de la zone occupée et il doit en permanence subir les menaces et les insultes de certains squatteurs. « Ils ont détruit des clôtures sous prétexte qu’il ne fallait pas entraver leurs mouvements. Ils mettaient mes bêtes en danger, mais je n’ai jamais pu leur faire comprendre », explique Clément. Il y a dix jours, les pneus de ses deux véhicules ont été crevés. « J’ai déposé plainte, mais je sais que ça ne sert à rien. Les gendarmes n’osent pas venir ici.Ils ont peut-être des consignes pour ne pas provoquer d’incidents, mais nous, on a l’impression d’être abandonnés par tout le monde. » »
Les gendarmes « n’osent pas venir ». C’est terrifiant de lire ça. C’est pourtant la vérité. C’est une certaine France. On est loin de la France du Ministre de l’Intérieur qui clame haut et fort que la République doit être présente sur tous les territoires de la France : qu’il aille faire un tour dans ce bocage nantais, et vite. Des gens honnêtes et travailleurs se sentent abandonnés.

D’ailleurs, on reviendra sur l’attitude du ministre Cécile Duflot qui avait lancé à Manuel Valls un très républicain : « tue un ou deux manifestants à NDDL pour montrer que tu es le plus fort ». Cécile Duflot , ministre, qui visiblement soutient ces délinquants.
Quand des CRS gazent à l’envie des familles lors de manifestation contre le mariage homosexuel, on pourrait s’attendre une plus grande fermeté sur ce dossier de NDDL. Sans jouer le jeu de l’extrême bêtise du ministre vert qui semble vouloir des morts.

D’ailleurs, en parlant de mort, le Parisien évoque un autre cas ou un drame aurait pu arriver.
« Un drame aurait pu arriver cependant en janvier. Un chasseur de La Paquelais profitait du dernier jour de chasse pour taquiner la bécasse. « Soudain, j’ai été agressé par un squatteur, raconte Olivier*. Il était fou de rage et je n’ai vu qu’il était armé d’une machette que quand il l’a brandie vers moi. J’ai juste eu le temps de l’éviter quand il l’a lancée dans ma direction, puis il s’est jeté sur moi pour me prendre le fusil. » L’arme d’Olivier était chargée. Il aurait pu tirer. « Dans l’action, ça m’est venu à l’esprit, mais j’ai tenu bon et j’ai réussi à me dégager. » S’il avait tiré, la situation à Notre-Dame-des-Landes aurait pu basculer dans le chaos. »
Cela aurait été terrible puisque nos grands modernoeuds auraient de suite hurlé contre « cet enfoiré de chasseur ». Exonérant le squatteur armé tout de même d’une machette…

Je crois que le combat de Notre-Dame-des-Landes dépasse le cadre  d’un simple aéroport. Il s’agit, pour moi, d'un combat contre ceux qui mettent en péril la République. Ces squatteurs délinquants et en plus violents.
L’article n’indique pas de quoi vivent ces gens-là, et quelles sont leurs ressources. En tous cas, ils empêchent les gens de travailler, de vivre, et doivent être sévèrement sanctionnés par notre justice.

On parle beaucoup de radicalisation de conflit. Aujourd’hui, une certaines gauches met en avant les propos (que je juge irresponsables) de Frigide Barjot. Elle gagnerait en grandeur en s'occupant, avec cette même verve (haine ?) de ces nuisibles et de ces délinquants à Notre-Dame-des-Landes.
Et que le ministère de l’intérieur et la justice prenne ses responsabilités et les choses en main, en réinvestissant ces territoires,et en chassant cette lie. Il y a quelques années, un ministre de l’intérieur parlait de « racailles » : le terme semble bien faible aujourd’hui…

J’espère que force sera à la loi et à la République. Et j’espère que le gouvernement et les républicains ne lâcheront pas.  
Notre-Dame-des-Landes, pour les républicains, c'est davantage qu’un aéroport !

dimanche 9 août 2015

La tête dans les nuages (pas le cœur)

Rien a voir avec ce qu'il se passe à l'OM. 

Quoique j'ai le sentiment de le retrouver le 12 juillet 2002, la trahison de la part de quelqu'un qu'on aimait passionnément fait toujours du mal. Et il appelle le silence :ne jamais dire du mal de celle ou celui qu'on a aimé, même si la trahison est infâme et douloureuse.
Ce n'est pas une leçon. C'est ma philosophie. Ne jamais salir ce ou celle que j'ai aimé. Même si la réciproque n'est pas toujours vraie...
Nous sommes arrivés à Orcieres-Merlette. Nuageux. Et au final en plein brouillard.

Impression de brouillard quand je lis les tweets de "supporters" de l'OM qui appellent au meurtre. De MLD, de Labrune. Twitter est un lieu de vraies saloperies, mais aussi car il y a des salopards.
Que le club et les vrais supporters de l'Om doivent mettre hors d'état de nuire. Idéalement ca devrait être notre république, mais elle est un peu en faiblesse en ce moment...

lundi 23 février 2015

Ces anti-fachos aux comportements de facho

Retour sur la profanation du cimetière juif de Sarre-Union. J’avais écrit ici combien j’avais trouvé abjectes les déclarations d’un obscurdéputé PS, qui n’a rien trouvé de mieux que d’accuser le Front National d’encourager à des profanations. Je n’ai pas lu de déclarations ou de condamnation du Parti Socialiste pour désavouer son député. C'est dommage (pas surprenant de la part du PS, mais dommage). 

J’ai lu par hasard que le meneur des profanateurs serait en fait un « anti-fasciste » convaincu : « Un de ses condisciples témoigne : « On ne parlait pas politique mais si on évoquait le Front national, il se mettait sur ses deux pattes arrière et se mettait à grogner. Il prétendait se battre contre le fascisme et était très remonté contre la police. Il traitait les policiers et les militaires de fascistes, avec une hargne qui me mettait mal à l’aise » ».

J’ai déjà souvent écrit ce que je pensais des antifas. On avait vu l’an passé à Lyon les méthodes de ces prétendus anti-fascistes, qui sont davantage fascistes que ceux qu’ils prétendent combattre. Ils avaient mis la ville à sac…
L’information a été très peu médiatisée. Je suis toujours effaré de voir la relative complaisance des médias et de nos responsables politiques vis-à-vis de cette extrême gauche violente et délinquantes. Ceux de Notre-Dame-des-Landes par exemple. Effaré et inquiet aussi.

Islamistes extrémistes et activistes d’extrême gauche, c’est un même combat. Un antisémitisme commun en tous cas. Mais nous avions leurs proximités idéologiques lors de ces émeutes pro-palestiennes à Paris, qui se sont terminées en émeute urbaine et en manifestations ouvertement anti-juives, où flottaient des drapeaux de l’Etat Islamique…

Je parlais tout à l’heure de l’ « arc républicain ». Il serait bon que ce dernier cesse d’avoir de la complaisance pour cette extrême gauche radicale, pour ces gens qui sont gentiment appelés des « antifas », mais qui ne sont que des délinquants violents. Ils sont dangereux.

Et d’arrêter d’avoir le fusil médiatique braqué sur le seul Front National. Le danger pour la République est principalement ailleurs, et l’extrême gauche en est l’un des foyers…

dimanche 21 septembre 2014

S'opposer à (toutes) les violences syndicales, et les condamner

Je me suis souvent exprimé ici contre ce syndicalisme délinquant, qui consiste à casser pour exprimer des revendications. Je ne supporte pas ces syndicats voyous qui font régner une terreur physique et morale par leurs attitudes violentes, et je pense qu’il faut que notre état de droit républicain y mette fin.
A une époque, la gauche de la gauche voulait faire passer un amendement pour amnistier la casse et le vandalisme syndical. Je m’étais élevé contre ce projet malsain et dangereux.

Cet été, j’avais également exprimé le dégoût devant ces émeutes urbaines lors des manifestations anti-juif pro-palestiniennes. Barbes et Sarcelles ont pris cher… Et j’avais espéré des sanctions fortes contre ces casseurs, sanctions qui ne sont jamais venues…

De la même manière que la blogueuse Elooooody, je condamne fermement ces syndicalistes paysans bretons qui se sont comportés de manière délinquantes. Je ne partage pas du tout son positionnement politique, mais fort logiquement je partage son indignation.
Indignation qui rejoint mes indignations précédentes. Avignon avec des intermittents du spectacle voyous, Barbes et Sarcelle, CGT du livre, etc, etc… Je reste cohérent.

Si la justice est cohérente elle aussi, je pense malheureusement que les voyous bretons qui ont cassé et brulé ne risqueront pas grand-chose. La justice a été extraordinairement clémente avec les voyous à Barbès et Sarcelles, qui n’ont rien eu. Et les délinquants qui ont mis cet étémon village à sac ne sont toujours pas inquiété par la justice, ils vont bien et ils vous emmerdent embrassent.
Donc normalement, les syndicalistes paysans bretons n’auront que des peines symboliques…

A moins que de la même manière que les bonnets rouges sévèrement condamnés à 18 mois de prison pour avoir brulé une barrière éco-taxe, la justice ne soit plus sévère avec des syndicalistes bretons qu’avec des « jeunes » qui dévastent des quartiers
Mais cela voudrait dire que notre justice républicaine est à plusieurs vitesses et plus clémente avec certaines personnes. Ou alors qu’il y aurait un délit de sale gueule anti-breton ?

Il est évident que je ne veux pas croire cela…

jeudi 3 juillet 2014

Intermittents ? Non, délinquants ! (Festival d'Avignon)

Je suis tombé à la renverse quand j'ai lu cet article du Huffington Post : "Festival d'Avignon: des intermittents se servent dans un supermarché sans payer". Le Festival n'a pas commencé, et la frange extrême gauche de ces syndicats d'intermittents ont déjà franchi la ligne jaune tous phares allumés...
"Les intermittents du spectacles et précaires ont rempli douze chariots de nourriture dans les rayons d'un supermarché d'Avignon puis ils sont passés devant les caisses sans payer", indique France Bleu Vaucluse. Selon La Provence, ils étaient une cinquantaine à participer à cette opération.
Je parle souvent ici de ces syndicats délinquants. Qui ne servent aucune autre cause que celle de dézinguer l'ordre public, et de provoquer la République. Ces gens ne sont pas des syndicalistes au sens noble du terme : ils ne défendent pas l'intérêt général, encore moins l'intérêt des gens qu'ils prétendent représenter. 
Non, ces gens là ne sont pas des syndicalistes : ceux sont des délinquants. 

Nous en avons beaucoup, de ces syndicalistes délinquants, dans le sud de la France. Les entreprises autour de Marseille ou d'Aubagne pourraient parler de leurs pratiques, qui consiste à faire semer une terreur chez les employés et les patrons. A coups de vandalisme, quand ce ne sont pas des coups physiques.

Ce qui me désole, c'est l'impunité qu'ont ces gens là. Ils sont passés, à Avignon, devant des caisses sans payer. Et après ? Ont ils été inquiétés par la police ? Seront t'ils sanctionnés par la justice ? 

Il faut absolument revoir ces lois qui défendent des syndicats délinquants. Il en va de l'intérêt général, de celui des travailleurs, des salariés, et de toute l'économie.


En tous cas, Avignon a trouvé bien pire que des élus Front National... Tout ça est très grave quand même.

samedi 21 juin 2014

Délinquance, ou l'indignation sélective

Jeudi, un fait divers détestable. Une fille de 17 ans s'est pris une balle en pleine tête dans l'Aude. Dans une petite ville de ce département du Languedoc Roussillon, pas forcément connu pour ses faits de violence.
Je pensais naïvement que ce fait divers aurait fait l'objet de bandeaux d'alerte sur les chaînes informations. Que des ministres ou des associations s'en seraient émus et auraient mis en avant leur indignation devant ce fait de violence. Mais non. Rien. Ou si peu.

Le lynchage de jeune (Rom ou pas on s'en fout) dans une cave dans un "quartier populaire" de Seine Saint Denis m'a horrifié. Cette barbarie d'aller prendre quelqu'un pour aller le séquestrer et le tabasser dans une cave est horrible, et rappelle quelque part l'histoire du gang des barbares de sinistre mémoire.

Pour autant, médiatiquement parlant, je ne vois pas en quoi cette histoire méritait une plus grande couverture médiatique et ministérielle que l'histoire d'une jeune fille qui se prend une balle dans la tête devant chez ses parents. Cette indignation sélective m'indigne quelque part...

L'année dernière, un prêtre s'était fait lynché en pleine rue dans un "quartier populaire" (insupportable cette novlangue...) d'Avignon. Le silence, l'indifférence médiatique et associative, le mépris presque, était insupportable. Le ministre de l'intérieur de l'époque était resté silencieux. Je l'avais connu plus bavard et loquace sur d'autres actes de délinquances dont certains veulent faire des symboles. Qui n'étaient pas moins insupportables au demeurant... Mais ne méritaient pas une mise en lumière plus importante. 

J'écris souvent des billets pour m'émouvoir de ces actes de violences et de délinquances, que je trouve insupportable. Je trouve davantage insupportable cette instrumentalisation médiatique, à des fins qui ne me semblent pas saines, de "certains" faits de violence. Vouloir faire un "symbole" d'une acte inqualifiable (l'agression d'un Rom par exemple). Et laisser entendre qu'à coté de ça, l'agression d'un curé ou d'une jeune fille est finalement moins importante. Et mérite moins d'égard.

Tout ceci me parait dangereux, malsain. Et ça contribue grandement au mal-être général de notre société aujourd'hui...
Certaines associations en sont grandement responsables. Triste de voir le pouvoir politique et médiatique embrayés dernière, ignorant la jeune fille de l'Aude et le curé d'Avignon.

Mais ce qui est le plus triste, c'est bien la violence présente dans notre société. Avec des personnes qui se comportent comme des animaux et n'ont plus aucune notion de la valeur de la vie humaine...
Le plus triste, et le plus inquiétant.