vendredi 22 mai 2009

J'adore Charles Aznavour, mais...

... depuis ça, je refuse de regarder TF1 ce soir.
C'est con, je sais. C'est une rébellion à deux balles. J'ai envie de faire mon révolutionnaire à deux balles ce soir. Et ça me coute, j'adore Charles Aznavour.
Alors je me le ferai enregistrer, peut être. Si je regarde une cassette (ou un DVD, vive les disques durs enregistrables...), ben ça fera une tête de moins d'audience, non ?

J'aime bien Jean-Pierre Foucault aussi. Mais c'est moins pour ses qualités d'animateurs que pour sa deuxième casquette...

Alors je vais regarder les DVDs de la deuxième saison de Bleach. La période des Bounts. En mangeant une pizza, et en buvant du rosé.
Ca ne voudra pas la daube de poulpe, mais ça sera sympa quand même...
A noter que le rosé qui l'accompagne est un Côte de Provence purement divin... j'en reparlerai plus tard...


On parlait en filigrane d'HADOPI dans ce billet (si, si... pardon). A lire un intéressant texte sur Scantrad et HADOPI. Le Scantrad, c'est la diffusion sur le net de bande dessiné, essentiellement japonaise et traduite par des fans, essentiellement de séries non disponibles en France...

2 commentaires:

  1. Ah, le poulpe ! je me souviens d'une salade de cette bestiole, dans un restaurant de Barcelone...

    Quant à Aznavour, cette anecdote : quand j'étais petit (très petit), mes parents avaient très peu d'argent (très très peu), et ils adoraient Aznavour (années 50, pour vous situer l'affaire). Si peu qu'il était, alors,n hors de question de s'acheter un "pick-up" ou un "électrophone", comme on disait à l'époque.

    Ma mère, très "femme de tête", prévoyait qu'un jour mon père et elle pourraient s'offrir ce type d'appareil. Et elle pensait la chose suivante : « Si, le jour de l'électrophone, on ne dispose que de deux ou trois disques (45 tours), on va s'en lasser très vite. »

    Moyennant quoi, dans ces années 1956 - 1960, mes ^parents achetaient un ou deux 45 tours par mois, alors qu'il n'avaient rien pour les écouter. Pour plus tard, vous comprenez ?

    Un jour, un collègue de mon père, partant en week-end je ne sais où, et possédant un électrophone, nous l'a prêté durant son absence de deux ou trois jours.

    J'avais quatre ans, je n'ai évidemment aucun souvenir de tout ceci. Mais, d'après mes parents (et ma grand-mère maternelle, morte en août 1985), j'ai passé le week-end assis par terre à côté de cet engin, à écouter les disques de les parents.

    Et particulièrement Charles Aznavour, qui reste, vous le comprenez, l'une des plus solides "colonnes vertébrales" de mon existence.

    Merci d'avoir parlé de lui.

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  2. Très touché par ce commentaire... Rien que pour lui, ça valait le coup de prendre une minute pour écrire ce petit billet...

    Merci Didier. Bonne soirée

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